Actuellement, le numérique est omniprésent dans notre société. Les interactions en ligne sont devenues une partie intégrante de notre quotidien. Même si cela apporte de nombreux avantages, peu de personnes sont conscientes de l’impact environnemental de nos activités numériques. Derrière chaque clic, chaque message envoyé, se cache une consommation d’énergie et donc une émission de gaz à effet de serre. Dans cet article, nous allons explorer l’empreinte carbone du numérique ainsi que les bonnes pratiques à adopter. Puis nous allons mettre en lumière le cas particulier du SMS et son impact environnemental.

L’empreinte carbone du numérique : un phénomène en croissance

L’industrie numérique, en pleine expansion, est devenue un contributeur important aux émissions de gaz à effet de serre. La fabrication des appareils électroniques, leur utilisation, ainsi que les infrastructures de données requièrent d’importantes quantités d’énergie. Selon une étude de l’ADEME, le numérique représente environ 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. En France, les services numériques représentent 2,5 % de l’empreinte carbone nationale en 2020.

Les principaux facteurs contribuant à cette empreinte carbone sont :

  • Les terminaux (79 %) : il s’agit des appareils utilisés au service du numérique. Les terminaux sont les ordinateurs, les téléphones, les appareils connectés, la télévision consomment beaucoup d’énergie.
  • Le stockage des données (16 %) : les centres de données, qui hébergent les données de milliards d’utilisateurs, consomment d’énormes quantités d’énergie pour leur refroidissement et leur fonctionnement.
  • Les réseaux (5 %) : les différentes plateformes en ligne, les réseaux sociaux, les différents canaux marketing ou même internet contribuent également à l’émission de gaz à effet de serre.

Si on ne fait rien, l’empreinte carbone du numérique en France peut augmenter de 45 % d’ici 2030 selon l’étude de l’ADEME. Même si la phase de fabrication occupe la majorité des impacts environnementaux (78 %), l’impact de la phase d’utilisation est non négligeable (21 %). Face à cela, il devient impératif de prendre des actions écoresponsables au niveau des entreprises, mais également au niveau de chaque individu.

Le SMS : le leader des canaux écoresponsable

Face à ce constat alarmant, il est essentiel de chercher des alternatives plus respectueuses de l’environnement. Pour les sociétés, les PME et les autres entités qui utilisent le digital, le défi consiste à utiliser des canaux représentant une faible empreinte carbone. En effet, le SMS apparaît comme la solution de communication la moins polluante. Comparé à d’autres modes de communication numérique, le SMS présente plusieurs avantages en termes d’empreinte carbone.

Un texto émet 0,00215 g de CO2 tandis qu’un mail émet au moins 4 g de CO2 et peut augmenter selon son contenu. En effet, les deux canaux n’ont pas forcément les mêmes caractéristiques, mais il est préférable de prioriser le SMS si cela est possible. Par exemple, pour des messages courts, nous pouvons utiliser le SMS PRO. Concernant les réseaux sociaux, on estime que l’émission de CO2 s’approche de celle des mails, car ils utilisent le réseau internet.

Nous allons voir les atouts du SMS par rapport aux autres canaux numériques.

Une consommation énergétique réduite

L’envoi d’un SMS nécessite beaucoup moins d’énergie qu’un email, notamment en raison de sa taille réduite et de la simplicité de sa transmission. En effet, un SMS ne dépasse pas les 160 caractères et n’utilise pas internet, mais utilise les fréquences de téléphonie classique. Selon certaines estimations, l’empreinte carbone d’un SMS serait environ 100 fois inférieure à celle d’un email.

Des infrastructures légères

Les réseaux de téléphonie mobile, sur lesquels circulent les SMS, sont déjà largement déployés. Ainsi, l’envoi d’un SMS ne nécessite pas de solliciter des infrastructures supplémentaires, contrairement à d’autres services en ligne.

Une durée de vie courte

Les SMS sont généralement supprimés rapidement après leur lecture, ce qui limite la quantité de données à stocker et à traiter.

Les bonnes pratiques à adopter pour notre planète

Si le SMS présente des avantages indéniables en termes d’empreinte carbone, il ne faut pas pour autant le considérer comme une solution miracle. Pour avoir un réel impact sur la réduction de l’empreinte carbone de nos activités numériques, nous devons adopter une attitude écoresponsable. Il nous faut trouver le meilleur compromis sur les ressources utilisées au quotidien.

Il est nécessaire d’adopter une approche globale, en combinant différentes mesures :

  • Privilégier les SMS pour les messages courts et urgents.
  • Prioriser le SMS pour une communication en masse.
  • Limiter l’envoi d’emails non essentiels.
  • Optimiser la taille des fichiers envoyés par email.
  • Optimiser le poids des sites web
  • Choisir des hébergeurs web écoresponsables.
  • Acheter des appareils électroniques plus durables et moins énergivores.
  • Sensibiliser les collaborateurs aux bonnes pratiques

En résumé, l’empreinte carbone de nos usages numériques est une réalité qui ne peut plus être ignorée. Si on ne fait rien, les études démontrent les nouveaux problèmes auxquels nous devons faire face. Le SMS apparaît comme une solution intéressante pour réduire cet impact, notamment sur la quantité de CO2 émise. Cependant, il est essentiel de développer une approche globale et de privilégier les solutions les plus adaptées à chaque situation. En adoptant des comportements écoresponsables, nous pouvons contribuer à réduire notre empreinte écologique et à préserver notre planète.

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